Le travail du chien (est les autres oeuvres de Kestrel Michaud) est quasi industrialisé. D’abord elle dessine tout sur Illustrator (petit ami du Photoshop, mais où les dessins sont vectorisés donc plus nettes). Ensuite, elle définit sa gamme de couleurs et demande à son Cricut de soigneusement découper tous les petits morceaux par planche de couleur. Après, c’est assemblage et collage. En plus, elle tient un registre pour compter combien d’heures de travail nécessite un yard carré pour toujours optimiser son process. Nous sommes encore loin 😉
Ah ! Je comprends mieux. Je suis encore moins intéressée après avoir lu vos explications. Il y a bien l’idée de performance. L’utilisation de l’ordinateur est très présente désormais dans le patchwork. Certains, très géométriques cette fois, très complexes, manquent de charme.
Merci pour cet éclaircissement Lena. C’est évident que pour cette précision dans le dessin, il faut des outils, et surtout bien les maitriser! Je m’attache souvent à l’effet Waouh, à la surprise et/ou à l’émotion que me donne les oeuvres, sans toujours réfléchir à la technique.
Bonjour Lena je vois que tu es très au fait des dernières techniques du quilt. Avec tes explications on comprend mieux comment arriver à ces résultats avec de bons outils numériques.
Bien cordialement.
Gabrielle Paquin
Bonjour Gabrielle, oui, si on veut participer aux concours aux Etats-Unis, il faut suivre tout ce qui se développe techniquement. « Con cours! » En tout cas, je ne travaille pas comme cela, parce que j’aime me laisser la liberté de pouvoir modifier et réarranger mes morceaux jusqu’à la fin. Je respecte le travail de Kestrel. Par contre je n’aime pas quand les gens font imprimer leur photos sur tissu et le proposent avec un léger matelassage. Au moins d’exploiter l’intelligence artificielle pour créer quelque chose d’original!
Difficile de comprendre ce type de travail, totalement pictural. Il est clair que pour certains de ces patchs, on a travaillé à partir de photos. On voit même me semble-t-il quelques compléments au pinceau. Est-ce uniquement pour la quantité de travail, la performance ? Ou parce qu’on est allergique à la peinture (j’ai connu un cas, qui de l’huile est passé au textile à cause de cette raison) ? Je n’aime pas du tout, surtout cet atroce chien, et à produire ce genre de chose, autant choisir la tapisserie au petit point.
L’aigle n’est pas mal, ou encore les oies. Les roses sont jolies, pour un centre de patch, sinon, seules, elles ne valent pas une huile ou même une gouache. Mystère…
Quel émerveillement…quelle dextérité. !Oui ce sont des artistes et j ai grand plaisir à admirer leurs oeuvres. J ai un petit faible pour le chat ,les pivoines..
Merci Emma de partager avec nous et de nous ouvrir à d autres horizons.
Frédérique de Lille.
Que de travaux différents réunis sous le même nom de patchwork. Entre le travail d’Eiko Nakamura où tout est exécuté à la main et celui de Kestrel Michaud réalisé par ordinateur, tout un monde de création est possible…
Pour trouver un minimum de poésie et ressentir de l’émotion devant une création, les « imperfections » liées à l’exécution du travail que ce soit main ou machine tant que c’est l’humain qui guide l’aiguille ne font que rajouter du charme à l’œuvre. Un peu comme dans la nature, où les feuilles d’un même arbre, les vagues d’un même moment sont toutes semblables tout en étant différentes.
Quant à la rentabilité, c’est plus (pour moi) le monde du travail que celui d’un métier artistique mais pourquoi pas…
Je vais de ce pas retourner à mes aiguilles et ma petite machine à coudre réaliser des « choses » remplies de défauts mais réalisées avec plaisir!
Emma, merci de nous proposer chaque semaine des œuvres bien différentes les unes des autres pour nous inspirer et nous permettre de regarder au-delà de ce que l’on connaît. Bon week-end à vous et votre équipe.
C’est ce que j’aime dans le patchwork, tout est permis, tout est possible! On est ici dans le cadre de concours avec des gros prix, et artistes et juges cherchent la perfection, mais celà peut nous inspirer pour nos créations plus « ordinaires » 😉 .
Je n’y connais rien en technique, mais j’aime vraiment beaucoup la poésie toute japonaise du vol d’oies migratrices (Return to the North). Merci pour toutes ces découvertes du vendredi !
Merci pour ce reportage. Magnifiques œuvres textiles qui me laissent toujours admirative du travail réalisé. J’imagine le nombre d’heure nécessaire pour aboutir à de tels résultats ! J’aime tout mais plus particulièrement toutes les représentations animales proposées, ainsi que l’œuvre de Claudia Myers.
Magnifique
très bau travail mais je n’aime pas tout
C’est fou, un niveau de maîtrise pareil, incroyable !!
C’est magnifique!!J’adore
Remarquable !!!
Merci pour ces reportages.
Superbe !!!!!
J’aime bien le dragon et les pivoines,mais la technique du chien,c’est époustouflant !
Ahurissant!!!
Je suis perplexe
Extraordinaire ! A tomber par terre ! On se demande par où commencer :-o) ! Merci de nous faire partager ces belles oeuvres !
Perso, je n’aime pas trop le figuratif mais je trouve ce travail époustouflant !
J’admire le travail mais je ne suis pas fan
Le travail du chien (est les autres oeuvres de Kestrel Michaud) est quasi industrialisé. D’abord elle dessine tout sur Illustrator (petit ami du Photoshop, mais où les dessins sont vectorisés donc plus nettes). Ensuite, elle définit sa gamme de couleurs et demande à son Cricut de soigneusement découper tous les petits morceaux par planche de couleur. Après, c’est assemblage et collage. En plus, elle tient un registre pour compter combien d’heures de travail nécessite un yard carré pour toujours optimiser son process. Nous sommes encore loin 😉
Ah ! Je comprends mieux. Je suis encore moins intéressée après avoir lu vos explications. Il y a bien l’idée de performance. L’utilisation de l’ordinateur est très présente désormais dans le patchwork. Certains, très géométriques cette fois, très complexes, manquent de charme.
Qu importe le flacon,pourvu qu on ait l ‘ivresse..
Merci pour cet éclaircissement Lena. C’est évident que pour cette précision dans le dessin, il faut des outils, et surtout bien les maitriser! Je m’attache souvent à l’effet Waouh, à la surprise et/ou à l’émotion que me donne les oeuvres, sans toujours réfléchir à la technique.
Bonjour Lena je vois que tu es très au fait des dernières techniques du quilt. Avec tes explications on comprend mieux comment arriver à ces résultats avec de bons outils numériques.
Bien cordialement.
Gabrielle Paquin
Bonjour Gabrielle, oui, si on veut participer aux concours aux Etats-Unis, il faut suivre tout ce qui se développe techniquement. « Con cours! » En tout cas, je ne travaille pas comme cela, parce que j’aime me laisser la liberté de pouvoir modifier et réarranger mes morceaux jusqu’à la fin. Je respecte le travail de Kestrel. Par contre je n’aime pas quand les gens font imprimer leur photos sur tissu et le proposent avec un léger matelassage. Au moins d’exploiter l’intelligence artificielle pour créer quelque chose d’original!
Difficile de comprendre ce type de travail, totalement pictural. Il est clair que pour certains de ces patchs, on a travaillé à partir de photos. On voit même me semble-t-il quelques compléments au pinceau. Est-ce uniquement pour la quantité de travail, la performance ? Ou parce qu’on est allergique à la peinture (j’ai connu un cas, qui de l’huile est passé au textile à cause de cette raison) ? Je n’aime pas du tout, surtout cet atroce chien, et à produire ce genre de chose, autant choisir la tapisserie au petit point.
L’aigle n’est pas mal, ou encore les oies. Les roses sont jolies, pour un centre de patch, sinon, seules, elles ne valent pas une huile ou même une gouache. Mystère…
Vous avez raison pour la performance. Dans ce concours il y a à la clé plusieurs prix de 7500 à 5000 USD ce qui explique la recherche du sensationnel.
Merci pour cette information. En effet, on peut se demander où est l’intérêt artistique pour le chien. Mais si c’est pour l’amour de l’art-gent……..
Quel émerveillement…quelle dextérité. !Oui ce sont des artistes et j ai grand plaisir à admirer leurs oeuvres. J ai un petit faible pour le chat ,les pivoines..
Merci Emma de partager avec nous et de nous ouvrir à d autres horizons.
Frédérique de Lille.
Très impressionnant! en vrai ils doivent être encore plus spectaculaires!
Cela ne fera pas partie de mess ouvrages mais…….quel travail !!!! Magnifique !!!!
J’en connais qui ont dû se faire plaisir à Houston !!!!!!
Bravo aux artistes mais ce n’est pas ma façon de travailler les tissus. Merci Emma pour ce reportage.
Christiane. 5
je ne suis pas admirative pour moi cela n’est pas du patch, plutôt des oeuvres picturales
Que de travaux différents réunis sous le même nom de patchwork. Entre le travail d’Eiko Nakamura où tout est exécuté à la main et celui de Kestrel Michaud réalisé par ordinateur, tout un monde de création est possible…
Pour trouver un minimum de poésie et ressentir de l’émotion devant une création, les « imperfections » liées à l’exécution du travail que ce soit main ou machine tant que c’est l’humain qui guide l’aiguille ne font que rajouter du charme à l’œuvre. Un peu comme dans la nature, où les feuilles d’un même arbre, les vagues d’un même moment sont toutes semblables tout en étant différentes.
Quant à la rentabilité, c’est plus (pour moi) le monde du travail que celui d’un métier artistique mais pourquoi pas…
Je vais de ce pas retourner à mes aiguilles et ma petite machine à coudre réaliser des « choses » remplies de défauts mais réalisées avec plaisir!
Emma, merci de nous proposer chaque semaine des œuvres bien différentes les unes des autres pour nous inspirer et nous permettre de regarder au-delà de ce que l’on connaît. Bon week-end à vous et votre équipe.
C’est ce que j’aime dans le patchwork, tout est permis, tout est possible! On est ici dans le cadre de concours avec des gros prix, et artistes et juges cherchent la perfection, mais celà peut nous inspirer pour nos créations plus « ordinaires » 😉 .
Je n’y connais rien en technique, mais j’aime vraiment beaucoup la poésie toute japonaise du vol d’oies migratrices (Return to the North). Merci pour toutes ces découvertes du vendredi !
J’adore !
Utiliser les techniques d’aujourd’hui, ce sont d’autres neurones qui fonctionnent, le plaisir est décuplé.
Merci pour ce reportage. Magnifiques œuvres textiles qui me laissent toujours admirative du travail réalisé. J’imagine le nombre d’heure nécessaire pour aboutir à de tels résultats ! J’aime tout mais plus particulièrement toutes les représentations animales proposées, ainsi que l’œuvre de Claudia Myers.
magnifique quel travail. merci pour ce partage
Très colorier ,beaucoup de travail bravo à l artiste